Après Porto Alegre et Mumbaï, les ateliers du Forum Social Mondial travaillent depuis hier à l’édifice d’un "autre monde possible".
Entre-temps, se sont tenus des forums polycentriques, continentaux et nationaux, et une pléiade de foums locaux. Des mouvements paysans aux syndicats ouvriers, de ceux qui se nomment "no vox" aux Comités de quartiers, fussent-ils de bidonvilles, la société des citoyens du monde résiste dans sa diversité par la rencontre de tous, à la misère sous tous les visages de (...)
Entre-temps, se sont tenus des forums polycentriques, continentaux et nationaux, et une pléiade de foums locaux. Des mouvements paysans aux syndicats ouvriers, de ceux qui se nomment "no vox" aux Comités de quartiers, fussent-ils de bidonvilles, la société des citoyens du monde résiste dans sa diversité par la rencontre de tous, à la misère sous tous les visages de l’injustice, à la déshumanisation du monde sous le joug du marché.
La FSGT, née du mouvement social d’éducation populaire, s’efforce à sa mesure d’arracher l’histoire du sport à la fatalité raciste du culte de l’élite, de l’appât du gain et de l’exclusion. Avec ses adhérents, elle cultive ses racines pour inventer avec ses partenaires du monde entier, l’avenir d’un sport associatif et solidaire.
Pour qu’aucun peuple ne soit exclu de la vie sportive, avec le point de vue critique qui la caractérise vis à vis de tout prosélytisme, elle est partie prenante du Forum social européen, solidaire des travaux de Nairobi.