Une belle dynamique pour la première partie de saison…
Le domaine « Formation » s’est engagé dans la concrétisation des objectifs fixés par l’AG 2019. Des actions sur le BFA, le BAFA, le CQP mais également sur le recensement des formation FSGT. Retour sur un début de saison prometteur…
Lors de l’AG 2019 de la FSGT, le domaine formation avait présenté une feuille de route pour la période 2019/2021 autour de 4 axes prioritaires :
- Organiser le maillage des formations et des formateurs
- Assurer la cohérence globale des formations
- Produire théoriquement à partir de l’expérience
- Répondre aux besoins prioritaires de formation
Cette saison 2019/2020 avait donc différents objectifs. De nouveaux projets, comme des projets à approfondir.
Tout d’abord, le Brevet Fédéral d’Animation (BFA), pierre angulaire de la formation FSGT, se développe un peu plus chaque saison avec 38 activités représentées et 55 formations qui étaient prévues sur la saison (une dizaine n’a pas pu avoir lieu du fait de la crise du coronavirus). En complément, un collectif travaille sur un projet de formation aux modalités un peu particulière pour ce qui concerne les contenus communs du BFA c'est-à-dire, les contenus transversaux à toutes les activités. Il s'agit d'une formation hybride, qui comporterait des temps en présentiel et en distanciel, en utilisant pour partie la plateforme Claroline FSGT.
Le BAFA est également en évolution avec des sessions de formation en Ile de France, mais aussi en PACA, et bientôt en Nouvelle-Aquitaine.
Le recensement des formateurs à également évolué, comme vous avez pu le lire dans la précédente newsletter. Une base de données a été créée avec prochainement, un lancement du recensement permettant, par la suite, de constituer un réseau de formateurs (BFA, BAFA…).
Tous les projets sont étroitement liés et commencent, d’ores et déjà, à se croiser, façonnant et consolidant, un peu plus encore, l’organisation de la formation à la FSGT.
Toutefois cette saison, aussi prometteuse qu’elle était, fut frappée de plein fouet par la pandémie du coronavirus. Le domaine formation a alors dû faire preuve d’adaptabilité et se tourner un peu plus encore vers le numérique.
